Coup sur coup deux membres du mini-secrétariat général du SNES entre 1967 et 1971 qui jouèrent un rôle déterminant dans son histoire viennent de disparaître.

Après André Dellinger, mort mardi 27 mai, Jean Petite est mort le vendredi 30 mai, en Angleterre où il résidait.

L’un était le secrétaire corporatif, l’autre le secrétaire pédagogique et le père du projet d’Ecole progressive. L’un croyait au ciel, l’autre n’y croyait pas. Plus âgé , Jean avait commencé a militer dans la Résistance. C’était la seule médaille qu’il avait acceptée.

Jean Petite sera inhumé en Angleterre le mercredi 11 juin et une cérémonie d’hommage aura lieu plus tard en France à Caen.

La bio de Jean Petite est déjà sur le site du Maitron et devrait être publiée dans le tome 10

Le président a témoigné
à son épouse Barbara et à l’une de ses filles toute notre sympathie.

La direction du SNES sera représentée aux obsèques en Angleterre par Daniel Robin et Louis Weber.